Je salerai ton antre
à la pluie de mes rêves
Je nagerai dans l’aire
abritée de tes mains
Et nos envols
qui jamais ne seront prononcés
diront le lit de la nuit
le corps de l’étreinte
la neige des ans
comme autant de pointilles
qui parsèment nos toiles.
Erell Lenoac’h
extrait de mon recueil: Nos accords denses