Je voudrais clore
en boucles
les empreintes
que les Pârques
ont altérées.
Je voudrais coudre
ma bouche
éteinte
pour qu’elle délaisse
mirages et cruautés.
Je referais le monde
qui s’illusionne en moi,
je bâtirais des ponts
pour orner les méandres
de l’eau vive qui tournoie.